Victoria et Andrew | Ton accessoire gay est là

- Je me doute bien que tu préfère que ton enfant ait ton intelligence. Non pas que Stan est un idiot, je ne pense pas ça, mais je pense que il préfère s'amuser que apprendre. Chacun son truc après tout.

Personnellement je pense que il y a un temps pour apprendre et un temps pour s'amuser.

- Oui, j'espère qu'il n'aura pas le cerveau de son père. Je ne m'en cache pas. Si je pouvais éviter de m retrouver à devoir nettoyer derrière lui à 80 ans juste parce qu'il se fait arrêter pour des bêtises, je préfèrerais éviter.

C'était bien pour ça que Stan était arrivé ici, ses parents n'en pouvaient plus de son comportement. Connaissant ses parents ils avaient tout essayés les pauvres. Il était hors de question que ça se passe ainsi avec mon enfant.

- Et toi ? Que penses-tu d'avoir des enfants un jour ?

- Bien sur que ça va t'arriver de rencontrer la bonne personne. Ca peut arriver à n'importe qui qui mettrait des efforts pour faire fonctionner une relation ! Et tu as raison, on se pose tous cette question ne t'en fais pas.

- C'est vrai. Et puis c'est plus compliqué lorsque l'on est un vampire. On voit les humains tomber amoureux, passer leurs vies ensemble et on se demande à quand notre tour ? Alors qu'on a du mal à réaliser qu'il est dur de trouver quelqu'un pour l'éternité. Mais justement, on a pas le même timing qu'eux non plus. C'est toute ma beauté de la chose.

Je haussais les épaules, je ne savais pas non plus. Mais je ne conversais pas assez avec les humains pour avoir ce genre de sentiments pour eux, jamais je n'en n'avais eut, pour moi ils étaient juste une autre espèce, en bas de notre chaîne alimentaire.

- C'est exactement ça, tu auras tout le temps d'en trouver un ou d'en trouver plein ! J'avoue ne pas comprendre non plus. Peut-être que certains tombent amoureux et " vieillissent " ensemble, et d'autres transforment leurs humain. Sûrement pour l'éternité, et certains jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus se supporter, comme beaucoup de mariages. Au début on croit toujours que c'est jusqu'à ce que la mot nous sépare.

- Ca s'appelle l'espoir, et dans ces cas-là, personne ne se marierait. Il y a beaucoup de couples qui durent des années. Mes parents se sont rencontrés il y a plusieurs siècles, bien avant de m'avoir. Et ils sont bien partis pour durer encore quelques siècles. Je pense que passé un certain temps mariés, il n'y a plus de risque, ou alors quelques pourcents seulement, de séparation. Je suis peut-être aussi trop optimiste.