Victoria et Andrew | Ton accessoire gay est là

- J'espère vraiment que tu ne t'en veux plus pour des choses qui sont arrivées il y a 15 maintenant et que tu t'es pardonnée. Tu ne pourras jamais vivre pleinement sinon. Le meilleur moyen d'être heureux est d'être en paix avec soi même.

Si je n'avais pas fais du droit j'aurais fais de la psychologie. Je pourrais toujours en faire plus tard en soit.

- C'est un bon conseil et une bonne façon de penser. Malheureusement, j'aimerai que ce soit aussi facile à faire qu'à dire ! A vrai dire, c'était plus facile en laissant cet endroit derrière moi, comme un mauvais souvenir.

Pas besoin de se pardonner lorsqu'on arrête d'en parler, d'y penser et de faire comme si ça n'était jamais arrivé. C'était pas exactement ce que j'avais fait, pas au début. Mais revenir ici ça réveillait ma culpabilité. C'était sûrement pour ça que j'avais envie de repartir tout de suite.

- J'apprécie tes conseils, et je pense que ce n'est pas une mauvaise idée du tout.

- Je vais me reconvertir en psychologue pour en faire à mes heures perdues. dis-je en rigolant pour ajouter une petite pointe d'humour.

- Tu devrais ! Même si j'ignore si c'est le meilleur moyen d'occuper le peu d'heures perdues que tu t'accordes !

- Non par contre sérieusement je pense que je me reconvertirai dedans quand j'en aurais marre d'être avocat. Tu pourras m'embaucher dans ton hôpital ! Je pourrais être ton psy personnel. dis-je en rigolant.

Je rigolais et secouais la tête.

- Je n'ai pas besoin d'un psy personnel. Je vais bien. Mais j'accpete les CV pour l'hôpital.

- Je rigolais pour le psy ne t'inquiète pas. Mais je prend note dans un coin de ma tête si je me reconvertis un jour. Avec moi dans tes rangs tu vas monter première au classement. dis-je en rigolant.

Je rigolais et hochais la tête.

- C'est forcément plus facile quand on peut lire dans les pensées des patients pour savoir ce qui les bloque.

Je devrais peut-être demander à Ryan tiens ! Quelle idée débile Vic', Ryan n'avait rien d'un psy. Au contraire, il n'aiderait même pas les patients, il empirerait les choses.