Jouons le jeu | Gycky

Un grognement franchit mes lèvres à nouveau et je me lève.

"Tu veux réellement que je deviennes violent avec toi c'est ça ?"

Je t'attrape et te pousse contre le mur avec violence tenant tes mains au dessus de ta tête d'une poignet de fer alors que mon autre main vient caresser ton corps, ta poitrine encore.

- Lache moi. Et je ne te ferais rien. Mais je te promet que si tu me touche encor eje ne serais pas aussi gentille. dit je en essayant de le faire me lache

"Je me réjoui de voir ça !"

Je continue de te tripoter sans me priver.

Je me debattais, je voulais vraiment qu'il me lache, il me faisait mal avec sa main qui tenais les mienne. Visiblement je n'avais pas plus de force que sa.

- T'es vraiment u'un gros bouffon.

Je soupirais;

- Lache moi ou je cris au viol.

"Vas-y, fait toi plaisir, mais j'pense que personne ne viendra poupé."

Je te regarde dans les yeux, un sourire au lèvre alors que ma main glisse sur ton pantalon pour le détacher et se faufiler en dessous.

Je le regarde vraiment apeuré.

- Putin de merde, lache moi.

J'essaye de lui donner des coups en vain.

Je rigole alors que j'écarte ta culotte pour glisser ma main sur ton intimité.

"Je suis sûr que tu en a envie."

Je fit une grimace.

- Qu'elle personne aimerais se faire violer.

Je me retenais de pousser un cri perçant. J'allais exploser et lui faire très mal si je me mentais en colère, et ce ne serais qu'en eteingant mon humanité.
Je me debattais toujours, ne voulant pas qu'il me touche.

Je rigole a tes propos avant de glisser un doigt en toi et commencer à faire des petits mouvements.

Je le pousser comme je pouvais les larmes au yeux. Je ne pouvais pas le laisser faire sa. La colère monter en moi. Je réussis enfin à le faire me lâcher.

- Très vraiment qu'un connard. La sorcière avais raison.. J'aurais du me méfier de toi.. Tu m'a rendu sale.. Oh mon dieux, excuse moi d'avoir péché, dit je en m'agenouillant, pleurant. J'ai laisser l'homme prendre le dessus sur ma vie..

Je regarder alors Ricky.

- Tu as fait de moi un objet, je te le pardonnerais jamais. J'abandonne .. Je laisse tomber.. Dégage, je te laisserais tranquille, je veux plus que tu ne m'approche..


Je laisser retomber mon regard à terre, me recroquevillant sur moi même. Jamais je n'aurais cru dire que Stan avais raison.. J'abandonner oui, parce qu'il m'avais vraiment fait mal cette fois ci.