"Je me mutile parce que je préfère souffrir pour une chose qui se voit que pour des sentiments." -GYNNA-

Mes mains ensanglantées tremblent, mes bras saignent ... Je le sens encore en moi et c'est insupportable ... Caché dans l'ombre d'un coin du sous sol, depuis plusieurs nuits, je tente avec du mal de ne plus le sentir mais rien y fait ... J'ai envie de vomir tellement ça me dégoûte, je me dégoûte ... Je n'ai pas pu me défendre, je n'ai pas pu l'empêché de me faire du mal ... J'entends du bruit et je sens le parfum de Gynna ... La première réaction que j'ai: Cacher mes bras et les plaies, aussi nombreuses soit-elles, de la vue.

Les jours passaient depuis notre retour de Russie et plus Lulla étais bizarre. Je voulais aider mon amie comme elle m'avais aider précédemment.  Elle étais tellement bizarre, elle s'étais complètement referme ce qui ne lui ressembler pas du tout. Je la chercher partout et je fini par les souterrains car je me doutais qu'elle y serais.

J'avais une couverture avec moi et un oreiller, je m'empresse alors de me mettre sous ma couette. Roulé en boule, j'attend alors son arrivé.

Je tourne enfin à un coin des souterrains et la voit assise par terre avec tout son attirail. Je soupire et avancer vers elle.

- Oh qu'elle hygiène, je suis sure que c'est le meilleure endroit au monde pour se planquer de je ne sais quoi pour je ne sais quel raison.

"Mhm ... Au moins ici, je suis tranquille ..." Dis-je en soupirant, les yeux fermés.

Je soupirais. Je me baisser doucement vers elle et lui fit un bisosu sur le front.

- Tu va me dire ce que tu as? Cette façon d'être ne te va pas du tout, et ne me dit pas que tout va bien je ne te croirais pas.

Je me renferme sur moi-même quand elle me demande ce qui se passe ... C'est vrai, elle n'était pas avec nous en Russie, elle ne sait pas ce qui y ai arrivé ... Je mord ma lèvre et fui son regard "Mais ça va, j'ai simplement besoin d'être seule."

- Ne me ment pas à moi, tu peu pas me la faire. Ont sais toute les deux que ça va pas donc parle, je ne partirais pas avant de savoir, dit je en m'assaillant par terre.

"Tu ... Tu te souviens du voyage en Russie, celui qui a mal terminé ... Avant que ... Que vous vous retrouviez avec moi dans les caves ... Le ..." Je déglutis "L'humain m'a ... M'a violer ..."

Je fit de gros yeux. Totalement choquer et abasourdis par cette nouvelle. Ce ne pouvais pas être vrai, comment ont aurais pu être passer au dessus de sa ? Je lui aurais fait deux fois plus sa fête à cet enfoiré.

- Comment.. Je.. Mon dieux..