Intrusion | April Kaulitz

Je lui avais dit à plus tard, sauf qu'au final, une fois rentrée dans ma chambre, j'avais filé prendre une douche et ensuite, je m'étais allongé sur mon lit. Totalement perdu. Je ne savais plus quoi penser, surtout avec cette histoire de grossesse nerveuse... Alors, allongé sur mon lit à repenser à tout cela, j'avais fini par sombré dans le sommeil, probablement à cause du manque de sommeil accumulé par des nuits trop courtes...

je révisait jusqu'a tard dans la nuit... mais maintenant je suis disponible... alors je deside de venir a ta chambre je frappe pas de réponce tu m'avais pour temps dire a plus tard... j'espérait vraiment que tu viendrais me rejoindre jessaye d'ouvrir la porte qui n'est pas vérouller et je te voix... endormie dans ton lit. génial... il ma zaper... je retire mes chaussure et viens m'allonger près de toi

Je suis allongé sur le dos, le visage légèrement incliné sur le côté, les yeux clos. Je ne te sens pas, étant dans un sommeil profond.

je smack tes lèvres tendrement et pose ma tête sur ton épaule et ma main sur ton torse le caressant tendrement

je te murmure un doux je t'aime fermant les yeux profitant d'être contre toi

J'émerge vaguement au milieu de la nuit, ouvrant brièvement les yeux, je te remarque, mais me rendors rapidement, ayant l'impression de toujours rêver. C'est seulement le lendemain matin quand mon téléphone vibre sur ma table de nuit en guise de réveil que, je réalise réellement ta présence. Je bouge doucement pour ne pas te réveiller et pouvoir couper mon réveil. Je reste ensuite immobile, cherchant à me remémorer la soirée, savoir si je t'avais finalement invité à venir ou non...

ton réveille me réveille aussi légèrement je me blottie plus contre toi 

- mhm... bonjour..

Je continue de te regarder, restant sur le dos.

"Salut."

Dis-je doucement alors que je réalisais que tu t'étais juste incrusté sans permission dans ma chambre et dans mon lit.

j'ouvre les yeux doucement

-je.. je me suis endormie... désoler...

je te regard tu es magnifique

"Il n'y a pas de soucis. Mais tu aurais dû me réveiller quand tu es arrivés."

Dis-je simplement en posant ma main libre sur ta joue pour te la caresser doucement. Tu essayais de briser la distance entre nous, dans un sens, ça me touchait, mais en même temps, je ne pouvais toujours pas te pardonner, même si je tentais de faire un peu semblant pour t'aider à aller mieux.

je ferme les yeux

- non tu étais si pésible...

je voulais t'embrasser mais je me retiens j'ouvre les yeux et te regard

- tu a bien dormie?