Tom et Markus suent ensemble

Markus était allé à la salle de sport, c'était unportant de s'entretenir le corps, mais surtout de suer. Ca faisait s'évacuer les toxines, et ça permettait une guérison plus rapide quand on était malade, comme quand on fait une saignée.
ET justement Markus était un peu malade, il éternua sur les haltères posées à côté de lui.
Mais dans la salle de combats, il se dirigea vers les sacs de sable, pour se défouler un peu. Il donna quelques coups de poings, mais il savait que ce n'était pas ainsi qu'agissait un vrai guerrier. Dans un combat entre hommes et hommes, on ne se prenait pas au corps à corps, l'un collé contre l'autre comme dans une étreinte amoureuse.
C'est pourquoi Markus sortit son sabre, il taillada le sac de sable comme s'il s'agissait d'un communiste. Il se sentait comme un vrai samurai cop.

C'est soudain que Markus vit Tom Pine arriver !

Un éclat de rire jaillit de la gorge de Markus et alla se planter dans le mur en face.

-Mais voyons, ce n'est qu'un sac de sable, pas quelqu'un ! T'inquiète pas pour sa santé !
Enfin si tu veux je peux essayer de le ranimer...

Markus sortit des défibrilateurs et fit du bouche à bouche au sac en charpie, le sable éparpillé partout.
Le jeune homme voyait la femme de ménage venir avec son aspirateur, si elle venait par là, c'en était fini du sac de sable !

- T'a l'air d'un gros malin toi dit donc. Tu sais combien de temps is vont prendre pour en remettre un ? Plus de deux mois. Et je sus gentil encore. Gros debile. Maintenant elle va ce coltine pour t'a guele de deterer.

- Ah me dis pas que je suis un gros débile, tu me fais penser à ma mère ! Et en plus t'as les mêmes pectoraux qu'elle !
T'inquiète pas pour le sac de sable, j'en emporte toujours de recnange parce que je sais que je vais les massacrer, c'est comme le paquet de couche culottes que je garde avec moi, c'est parce que dans la vie je suis habitué à en chier grave, frère ! Et puis à en chier ce que j'ai chié !

Markus lui claqua la pince et lui fila un paquet de couches de rechange, au cas où, parce qu'on sait jamais, on regarde vers le haut s'il y a un après.

Je le regarder bizarrement.

- Tu ... Ok j'essaye pas de comprendre ce serais bien trop compliquer.