Rébékah et Samael(suite)

-Ici c'est les urgences. Tu y trouvera n'importe qu'elle genre de personne. Je vais te montrer.

Je la guida deux chambre plus loin ou se trouvais une femme jolie et qui semblait très calme. Elle était brancher de partout. Je pris le panneau sur le lit et lu les inscriptions: Débranché à 8 heure.

-Celle là est condamné a mourir demain matin. Tu pourra te gâté et si tu souhaite qu'elle vive ont peux faire quelques chose.

Je le suivis calmement tout en écoutant les battements de cœur plus où moins fort et en sentant les odeur de sang présente à des moments. Arrivé dans la chambre, j'écoutai Samael tout en fixant la femme, les crocs sortis. Je le fixai et mis mon pouce vers le bas avant de la mordre, les yeux rouge.

Je voyais bien ses yeux rouges, mais son pouce vers le bas voulait-il dire qu'elle allait la tuer?

Je ne voie pas mieux pour le moment on doit se dépécher.

Je buvais le sang de la femme et sentait peu à peu sa vie disparaitre et son cœur ralentit.

Je la regardais faire sans plus et entendit ensuite des pas en direction de la pièce à côté. Je me lanca dns le coin e la porte dans l'ombre en disant en penser.

*Cache toi tu la tuera après*

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J'allai me cacher et attendis de voir ce qui allait passer.

Une infirmière entra pris un dossier et resortie aussitôt sans se soucier de rien. Je pu redécendre du plafond.

-C'est bon. Tu peux sortir. Fini ton repas on vera si ta encore soif après.

Je sortis de ma cachette avant de me rediriger vers la femme et de finir de boire son sang.

Ce ne fut pas l'odeur du sang qui me poussa a changer. Une odeur bien plus violente me poussa à changer en ce monstre meurtier en moi. Un monstre que je voulais réprimer. Cet odeur ne plaisait guêre a aucun vampire er surtout pas a moi qui les avait au fesse je n'ai pas fait attention a leur présence.
Moi voix n'était plus douce du tout. elle était violente et cruel.

-Dépèche toi vampire idiote. On doit partir. Les loup nous ont trouvé. Ils arrivent et ne vont pas se priver de nous tuer si on ne sort pas d'ici vite.

Je me retournai subitement quand il dis sa et me figeai car je ne comprenais pas pourquoi il avait osé me traiter d'idiote. L'odeur des loups m'arriva au nez mais je ne bougeai pas quand même à cause de la rage que je ressentais par son changement de caractère. Je le fixai méchamment avant de sauter par la fenêtre pour partir.