Gynna & Victoria | Bon Retour En Enfer

La route depuis New York avait était longue. Pas dans le sens long comme si j’avais pris la peine de conduire moi même mais long car j’étais impatiente de revenir ici. De longues années sans y avoir mis les pieds, c’était quand même sacrément culotté de faire revenir autant de monde ici après les périodes que nous y avions passer. Pour ma part, j’avais hâte de retrouver certaines personnes, comme Ryan qui vit dans la même ville que moi et qui donne peu de nouvelles !
Arrivée sur place j’envoie un message à Vic pour que quelqu’un puisse quand même m’accueillir.
Talent haut et robe de créateur… Qu’est ce que je dis… Robe de ma dernière collection, je marche les yeux rivés son mon téléphone comme si je n’avais jamais quitter ses bâtiments.

Un fichu bazars pour sortir de cette voiture avec de quoi me changer pour le week end. Je souris à la remarque de ma sœur qui avait l’air agacée. 

- J’espère bien quand même … Enfin on voit que c’est un plaisir pour toi d’être là, dit je en riant à son visage décomposé. Pourquoi est ce qu’on est autant à se déplacer quand même ? Les gens n’ont pas de vie ?

Elle n'avait pas tout à fait tord. On avait quand même pas non plus aider à garder des décennies de haines et de guerres en place. Les Populaires n'existait plus, et pour certains ici nous étions qu'un simple souvenir. J'avais eu des échos de ce qu'ils se passait dans l'enceinte du lycée ... Enfin de l'université qui n'avait franchement pas été en notre faveur.

- Y a quand même pas mal d'endroit pour sa. Cet endroit est devenue un sanctuaire pour les vampires en détresse. J'ai bien l'impression que c'est pire qu'avant. On accepte tout le monde et n'importe qui, dit en voyant passer une fille avec les cheveux en pagaille, sans savoir pour qu'elle raison elle pouvait être dans cet état.

Etre populaire avait été pour moi une bonne période, tout simplement parce que sinon je n'aurait été personne. Aucuns d'entre eux ne se serait retourner sur mon chemin et encore moins décaler lorsque je traversait les couloirs. Sa avait était cool de pouvoir être au top au lycée.

- Une intimité ? Avec des paravent ? J'espère que tu rigoles ! Y avait quand même pas mieux pour une école de vampire que d'accueillir des gens dans un gymnase. Ca va sentir le foin et l'homme en sueur. Merci la nuit pourris.

Un lycée n’étais pas Censer amené du réconfort à n’importe qui. La plupart y été rentré pour être sure de ne pas mal tourné ou de ne pas tuer …. ou pas d’avantage.

- Le statut voulait sa Vic. Et tu l’a accepter en étant là Cheffe du Clan je te rappelle. Tu ne peux pas comparer la Russie à cette petite gué-guerre de Popularité ! 

J’avais depuis des années éviter de repenser à cette période… Elle avait été traumatisante et je n’étais pas prête à revivre un truc de ce genre. C’est bien pour sa que ma petite vie New-yorkaise m’allait très bien et que j’aimerais évite à ma fille de … Peux- être une joie vivre ce genre de douleur.

-  C’est à moi que tu poses cette question ? J’ai crée une ligne de pyjama qui reste tellement plus classe que les fringues de cette gamine. On a vraiment eu de la chance d’avoir une éducation qui nous a obliger à être présentable en toute circonstance parce que je ne me voit pas me trimballer comme ça partout !

Je la suis pour avoir des réponses à mes questions. Mais qu’était donc arriver à cette femme ? Pour une vampire on aurait dit qu’elle avait pris 20 ans et une coupe de cheveux qui ne lui allait vraiment pas du tout ! 

- Encore des merdeux qui ne respectent pas leurs aînés ! Vous ne savez pas s’il reste des places dans les dortoirs ? Nous ne sommes quand même pas traité par rapport à nos erreurs passer Mme McCulley ?

- Ça ne tenait qu’à toi par la suite de changer les choses. Après tout c’était toi la cheffe. Tu aurais même pu nous rendre un peu moins con, et pourtant tout autant populaire. Mais je dois avouer que le fait de temps entends pouvoir se sentir au-dessus des autres c’était ce qui nous rendait spécial.

Je ne regrette pas d’avoir été une populaire. Ça m’avait aidé à m’assumer, et à m’aimer comme je suis. J’avais longtemps eu du mal après la mort de mes parents et de ma sœur. Maintenant que les Ana était passé j’avais pris beaucoup plus d’assurance et le fait d’être une populaire avait grandement aider.

- Avec les années ça m’a surtout à être un peu plus indépendante. Et fier d’être comme je suis. Et puis je le vois bien avec ma fille, d’être trop laxiste ce n’est pas être stricte et lui donner des règles et des bases c’est tout ce dont elle a besoin parce que sinon je peux te jurer qu’ils en font qu’à leur tête ces petits monstres.

Pouvoir connaître l’éducation d’un enfant c’était quand même autre chose, ça vous aider à voir que vos parents avaient tort ou non sur votre éducation. Ça vous aider à savoir aussi qu’ils en avait carrément chier. Pas forcément avec nous parce qu’on était des anges et qu’on était quand même hyper sage par rapport à d’autres… Tout dépendait de quand surtout. 

- Tu sais quand même qu’on aurait jamais osé s’habiller de cette manière, et encore moins devant ton père. ! 

Donc concrètement, on avait peux être une chance de ne pas dormir dans ce gymnase tout puant. Dans ce cas il allait falloir retrouver tous les autres pour pouvoir s’organiser afin de passer la meilleure soirée pour nos retrouvailles.

- Tu sais ce que ça veut dire ? Retrouvailles dans une maison de fraternité veut dire : une sacrée fiesta, dis je toute heureuse à cette idée.