Rebekah et Samael - Se rencontrent

Je me promenais tranquillement dans la forêt tout en écoutant chaque bruit. Que ce soit le buissement des feuille sous les pas d'un cerf ou le chant des oiseau, rien ne m'échappait. A un moment, je montai dans un arbre avant de m'asseoir sur une des plus hautes branches et continuai à écouter les bruits.

Je venais souvent la nuit me relaxer dans les arbres pour y chanter et jouer de la guitare après tout j'en avais fait mon boulot pour me cacher des humains.

Alors que j'écoutai les sons de la nuit, une mélodie me vint aux oreilles et je sautai d'arbres en arbres pour voir d'où cela venait.

Le son que formait le glissement de mes doigts sur les note était une musique un peu métal mais avec une mélodie plus calme. Je chantais les malheurs que la vie m'avait donner durent toute ses années. J'avais aux lèvres du sang séché. Tout d'un coup je stoppa ma mélodie entendant une personne approcher très vite.

-Qui va là!

Je m'arrêtai dans l'arbre pile en face de l'arbre où ce trouvait la personne qui avait parlé. J'étais juste 2 mètres au dessus de lui sur une branche et l'observai attentivement car je ne l'avais jamais vu avant.

Je regardais la jeune femme pensant surement qu'elle était l'une de ses vampires végétariennes ou encore un vampire populaire qui semblait n'être en fait que des vaniteux qui pense que tout leurs est permis. Venait-elle rire des plus intelligent comme moi ou venait-elle seulement me narguer?

-Qui est tu?

- Je m'appelle Rebekah ! Rebekah Tusky ! Et toi qui es tu ? Demandai-je en restant assise sur ma branche sans le quitter des yeux.

-Je me nomme Samael, Samael Lumiar. Est tu l'une de ses arrogantes personne populaire qui peuple notre école?

Je ris quand il me demanda ça sans le lacher du regard.

- Je suis "populaire" mais pas dans le même sens que les "personnes arrogantes qui peuple notre lycée", comme tu dis ! Dis-je en souriant.

Je suis désolé de mon ton un peu volace. Je ne m'entend pas bien avec les populaires ces temps si. Je suis plus un solitaire d'habitude. De plus, tu m'as surpris alors je pensais que tu venais finir le boulot qu'il avait commencé.