Arranger les choses ? Est-ce réellement possible ? | April Kaulitz

"de rien."

Je continue de te regarder.

je te souris timidement je sais que tu veux partir mais je suis tellement bien quand tu es la..

- l'infirmière  a dit que je pourrais sortir ce soir ou demain... et que je devrais venir la voire tout les deux jours... elle pense qu'elle est mieux que la psy..

Je t'écoute.

"Tu as besoin du soutiens des deux. Tu ne dois pas rester seule April."

je te regard

- j'en n'est pour tant envie... je devrais retourner a LA...

"Et tu ferais quoi là bas?"

- je te laisserais vivre la vie que tu voix... tu n'aura plus a te préocuper de moi...

et je me laisserais mourire doucement ou me décécher car je ne consomerais pas de sang.. mais je préfère parler de toi.

- si ej reste ici je te verrais avec tes future conquaite copine... et qui sais peut être femme... tu sais...

je baisse la tête car ce que ej vais dire me fais déjà pleurer mais je retiens mes larmes le ^plus possible

- je sais... que tu te servais de moi.. pour avoir finn a tes coter contre stan... je ne suis pas si débile je les comprit des le début... mais... moi... j'ai de réelle sentiment... pour toi... je ne laisserais jamais tomber... jamais car.. je t'aime... tu comprend ce que je veux dire... je ne t'en veux pas de m'avoir fais ca... car ... je subirais n'importe quoi pour toi..

j'avais honte... oui honte et je susi tellement dessus je ne relève pas la tête mais je tiens toujorus ta main laissant les larmes couler ne dsant plus rien... que va tu faire... me dire la vériter ou mentire de nouveau... je ne sais même plus ou j'en suis moi je sais juste une chose c'est que mon coeur a besoin du tiens pour battre au même rythme et ne pas perdre la tête...

Je serre ta main dans la mienne en entendant ce que tu avais à me dire et je lève ma main libre jusqu'à ta joue pour essuyer tes larmes.

"Oui... C'est vrai... Tu n'étais qu'un pion pour moi... Mais je me soucie quand même de ton bien être, je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose à cause de moi. Tu devrais te détacher de moi pour ton propre bien. Je ne suis réellement pas le gars qu'il te faut."

Je dis la vérité, mais en même temps, je mens, car maintenant, j'avais bel et bien des sentiments pour toi, il n'était plus question de manipulation, sinon, je n'aurais pas réagis de la sorte et on n'en serait pas là. Sauf que ces mots que tu me disais, moi, je ne voulais plus te les dires car tu m'avais trahis. Je retire ensuite mes mains et me lève de ton lit.

je me blottie contre toi alors que tu te lève après... pourquoi tu partais... non.. ne t'en va pas.. mes larmes coules encore le souvenir de ta mains ur ma joue est si bonnej'ai besoin de ca... de contacte avec toi... je t'aime c'est irréfutable...

- arrête de croire que tu es un mauvais gars pour moi... je suis aussi un mauvesse fille... mais... si.. si tu n'avais pas de réelle sentiment maintenant pour moi tu ne m'aurais pas fais ca... du moins... ténerver pour ce que j'ai fais...tu... tu m'aurais laisser... tomber... mais tu es la ... ricky... s'il te plait... nous deux... ce n'est pas finie... pas toute suite je sais... mais n'oublie pas... notre histoire est plus forte que tout... je suis la première qui tes fais resentire quelque chose.... tu ... tu peu pas toute envyer promener comme ca... ricky... ne m'abandonne pas... ne m'oublie pas...

je pleurais encore... je sentais le vide au font de moi peuser sur mon estomas j'ai mal au ventre au coeur... je n'en peu plus

Je te regarde, m'éloignant toujours un peu plus de toi, je t'écoute. Tes propos étaient vrais, mais je refusais de le reconnaître, je refusais d'admettre cela maintenant, parce que tu m'avais fait du mal, parce que tu m'avais blessé et je ne suis pas du genre à passer l'éponge facilement... Je voudrais te faire du mal, mais à quoi cela servirait alors que tu es déjà au fond du trou toute seule. Tu n'as pas besoin de moi pour ça. Je porte ma main à mon front et me masse un peu les tempes.

"Ecoute April. Je ne veux plus d'un nous, tu m'emprisonnes. Je ne veux plus rien avec toi à cause de ce que tu es. Je ne voulais pas te faire du mal, mais tu ne me laisses pas le choix... Je ne pourrais pas te pardonner ce que tu as fait. Oui, tu es la première à m'avoir fait ressentir quelque chose, mais tu as aussi été la première à qui je me suis permis de faire réellement confiance et voilà ce que j'en tire. Tu m'as trahis, tu m'as mentit. Tu n'as rien eu à faire de ce que je pouvais bien ressentir, alors ne fais pas comme si tu me comprenais, comme si tu étais capable de savoir ce que j'éprouve pour toi. Parce que peut importe les sentiments que j'ai eu pour toi, ce que tu es à cet instant précis me fait pitié et me donne juste envie de te haïr."

Je te regarde avec froideur. Je n'aurais jamais du dire cela, j'aurais du garder ça pour moi, garder ce que je ressentais encore une fois rien que pour moi. Je m'écarte alors de toi à nouveau et regarde l'infirmière.

"Prenez soin d'elle."

Je me dirige alors vers la sortie, le coeur lourd. Je ne voulais réellement pas ça, parce que oui, tu avais raison, je ne pourrais pas t'oublier, pas facilement, mais mes sentiments pour toi, pouvaient changer... Comme on dit, la haine est si proche de l'amour.

je te regard sans comprendre... tu fais comme lui... tu me m'assacre avant de partir... tu lui demande de prendre soins de moi... mais personne pourra me suivre dans les couloir... personne ne sera l apour moi si tu par... je ne suis qu'une ombre sans toi..je t'emprisonne masi ej tes dit que je te laisserais le temps je te les promie... j'ai promie de toute faire pour toi.. mais je ne peut pas t'oublier je ne peut pas oublier mes sentiment... je pleure encore et des hurlement sort de ma bouche... te demandant pardon et pittier... je m'arrache tout les files qui me relie a cette stupide machine et essay de me lever j'hurle ton préjom te suiplant de ne pas m'abandonner que vaige devenir sans toi.. je n'est plus rien...
l'infirmière m'attrape et me couche m'injectant dans le bras un calent mais je en peut m'empécher d'hurler te réclamant encore le prodi fais effet elel peut donc m'attacher au lit... mais je sais déjà que ce lit va devir le miens... je sais déjà que maintenant je suis réellement... rien...