Stan en cour d'Anglais avec Thomas

- Vous ne pourrez rien faire aux gens que j'aime, ils ne pourront pas souffrir à cause de vous, je vous l'ai dis, elles ne vivent pas la porte à côté. Je doute que vous vous déplaciez jusqu'à Seattle juste pour que je lise un texte pourrit et d'aucune importance. Vous auriez très bien pu le faire lire à n'importe lequel de ces élèves et avancer. Mais vous vous entêtez autant que moi. L'heure est bientôt terminée, et mon autre cour m'appellera. Parce qu'évidement j'y irais. J'ai pas besoin de prouver quoi que ce soit, si je ne lis pas c'est parce que j'en ai aucune envie, pas parce que je ne sais pas lire ou une connerie que vous auriez cité durant l'heure. Je suis un esprit libre, vous ne pouvez pas me forcer.

- J'ai pas besoin de m'amuser à le faire, " le kaïd ". Qui utilise encore ce mot ? Vous êtes dépassés. Mais il est hors de question que je me soumette à vous comme n'importe lequel de ces débiles. Pourquoi m'abaisser à obéir à un simple prof ? Surtout à un nouveau ! Je ne réponds pas aux règles, et je ne l'ai jamais fais, voilà pourquoi je suis ici, et je ne compte pas changer. Vous pouvez toujours vous brosser.

- Oh mais c'était mon but de me casser, sauf que je ne peux pas. Si j'avais pu partir je serais déjà de retour à Los Angeles. Et oui vous me cassez les couilles aussi. Alors mettez moi un avertissement et renvoyez moi de cour, qu'est-ce que vous perdrez ?! Rien du tout ! Et on gagnera notre temps tous les deux ! Je suis de bonne foie en plus j'accepte d'aller sans broncher à l'Accueil.