Casier n°358 // Rose //

Nous y sommes. Jours 1. Et je suis déjà largué. Tout ce monde qui me tourne autour, braille, qui me regardent avec leurs yeux curieux et mauvais à la fois... Ma mâchoire ce contracte. Ça va être dur... très très dur. Non pas que j'ai peur du monde... nan, c'est plutôt mes propres limites via la tolérances qui m’effraie. Je suis trop longtemps resté un sauvage pour me fondre dans la masse sans que ça me demande un effort colossale. Et restons claire, je n'y parviens absolument pas.
Mes yeux noirs cherchent mon casier, comme n'importe quel collégien normale alors que je frise bientôt les 83 ans. Je trouve ça ridicule... Et le pire dans tout ça c'est que je suis, sans aucun doute, un des plus jeunes ici... Je n'en est absolument pas l'aire mais c'est pourtant bien le cas.

Le voila ce foutus casier, mes deux pupilles noirs ce contractent quant elles croisent enfin le bon numéros. Je l'ouvre et y fourre tout mes putain de bouquins qui me rappel à quel point ma vie va changer.

je marchait dans les couloir les cours vont pas tarder a commencer alors je doit me dépèché. je passe a mon cassier et je sais que celui pres du miens n'est pas prix alors quand j'ai pris mon bouquin et ma feuille je me tourne en fermant la porte du mien et me bouffe ta porte en pleine gueule.

- MAIS PUTAIN DE MERDE!!

Avec tout le bruit qu'il y a dans les couloir je ne suis pas sur que tu entende mon énervement je clac ta porte quand tes main ne ce trouve plus dessue

- tu peut pas faire gaff bordel!

Imagine un bâton de dynamite... prêt à exploser, tu le vois ? Beh voila, c'est moi. Et cette fille est mon allumette. Quant mes doigts m’insuffle la douleurs et qu'elle pénètre mon cerveaux déjà en ébullition je n'est qu'un réflexe... Je ne bouge pas mais je crache comme un énorme chat en colère, grondant, les dents soudainement sortie en lui envoyant un regard noir. Mes yeux noirs la transperce alors que les muscles de mes bras ce contracte alors que je retire tout doucement ma mains du casier qu'elle a refermée sur moi.

- Tu. te. fou. de. moi ?!

Grondais-je entre mes dents, si doucement que la menace serrais même palpable pour un aveugle et sourd.

je te regard l'aire blazer

- tu ne me fais pas peur. tu veux frapper frappe, c'est toi qui ira en salle de torture pas moi! pourquoi tu est si énerver au juste? tu veux sortir pour te détendre?

je rigole presque mais ne me fais pas

Elle est mignonne... et bien idiote aussi. Je me passe la langue sur mes dents pour essayer de me calmer mais ne baisse pas une seconde les yeux et continus de la fixer.

- j'ai une gueule à avoir peur de la torture ?

Je claque mon casier sans la quitter du regard.

- Et tu joue à quoi là ? Si c'est un concours du plus débile de nous deux, félicitation, t'a gagné.

Je le regarde avec dédains et finis par lui tourner le dos pour aller à la recherche de ma futur salle de cours.

je te regard.

- non tu na pas l'aire et c'est très bien

alors que tu tourne le dos je t'attrape l'épaule doucement

- excuse moi, j'aurais du faire attention... je voix bien que tu es nouveau je peut t'aider si tu veux pour me faire pardonner..

c'est vrais quoi j'ai étés idiote mais dans la rue c'est comme ca..

Je me stoppe quant je sent sa mains sur mon épaule et tourne légèrement la tête vair elle. Elle semble plus calme alors, j'essais d'en faire de même, même si une petite pointe d’agacement persiste toujours.

- Là, j'ai envie d'une bonne clope. Je veut bien passer au dessus si tu me donne cette petite compensation...

Je m'essais à sourire, mais mes yeux restent froid. Je suis trop stressée et frustré pour me détendre aussi vite que je le voudrais.

- tu m'en paille une?

je te souris gentiment tu doit te détendre si non tu va morflé ici les populaire ferons tout leurs possible pour t'énerver et ce serais dommage

Je la sonde du regard en levant un sourcils, légèrement amusé.

- Tu ne manque pas d'aire toi. Mais juste pour ça, j'ten offre une. Mais d'abord, je veut mon coin tranquille, loin de...

Je grimace.

- Tout ce putain de raffuts.

- je connais un endroit.

je te souris et prend ton bras

- viens suis moi!

je te tire doucement vers l'extérieur gardant mon livre et ma feuille avec moi