Finn et Victoria : Un combat pour des milliers de dollars de vêtements.

Après le cour de Chimie avec Mary je foncais dans ma chambre pour voir dans quel état ce salaud de Finn avait mit mes vêtements. Les voyant en lambaux, tous autant ils étaient je hurlais d'un cri plus fort que je n'en n'avais jamais fais, il était assez strident, et même si les élèves n'étaient pas des vampires ils m'auraient tous entendus comme si j'avais été à côté d'eux. J'étais à genoux, en train de tenir les lamnaux qui m'avaient coûté une fortune. Comment j'allais faire maintenant ? Je n'avais plus rien pour m'habiller en dehors de la tenue de cheerleader que j'avais sur moi. J'avais dépensé beaucoup en shopping et je ne pouvais pas recommencer parce qu'il fallait que je paye ma maison.
Au bout de quelques minutes à réaliser que je n'avais plus qu'une seule et unique tenue et que ça ne m'étais jamais arrivé dans ma vie, moi qui était accroc au shopping ; je décidais de retrouver l'auteur de ce crime et de lui faire à nouveau payer. Je sortis, non pas en colère ni en furie comme j'aurais du l'être, mais bien décidée à me venger. Le fait d'avoir éteind pour de bon mes sentiments aidait. J'allais voir un basketteur et volais son portable. J'envoyais un message à Finn et lui disait de me retrouver au bord du lac.

En marche vers le lac j'avais pris, ou plutôt volé une seringue de verveine à l'infirmerie et dans la foret j'avais cassé une branche pour m'en servir de pieux.
J'attendais devant le lac qu'il arrive. Les yeux toujours noirs, et les instrulents de tortures cachés dans mon dos, tenant entre ma jupe et mon dos.

- Les deux dernieres fois c'est moi qui t'ai fais venir. Et visiblement tu ne comprends pas a quel point je peux te faire du mal si tu essayes de m'en faire. Hier soir le sort de Mary n'était qu'une illusion mais bientot ce n'en sera plus une et tu la retrouveras exactement comme Rebekah a retrouvé Brandon.

- Le coup de l'illusion était une mise en garde. Mary dort avec moi, fait partit de mon équipe, et traine avec des gens avec qui je traine. Je peux lui arracher le coeur n'importe quand. Et non je n'hésiterais jamais à le faire. Hier était un test.