Serena et Victoria : bizarre il n'y a plus personne..

Je regardais le plafond fixement. Me l'imaginant contre su j'étais allongée dans l'herbe et que je contemplais un ciel étoilé. C'était nul quand même ; On pouvait envoyer des images dans l'esprit d'un autre pour l'embrouiller. Mais nous ne pouvions pas nous imaginer réellement quelque chose. Car s'imaginer un ciel noire étoilé en regardant un plafond crème avec de petites fissures dans la peinture, ça ne nous montrait qu'un plafond crème avec des fissures dans la peinture et seulement notre esprit pensait à une nuit étoilée.
Qu'est-ce que je ferais lorsque je me levèverais de ce canapé vert trois places bon marché et plus tres confortable ? En supposant su'un jour il l'ait été. J'irais essayer de retrouver Stan ? Nan. Il serait sûrement en entraînement. Ou en train de trainer avec ses potes. Je savais qu'il pourrait quitter ses potes pour moi, mais je ne voudrais pas. Ce ne serait pas correct. Comme il n'est pas correct de retirer un coeur de la poitrine de quelqu'un. Mais en même temos j'en avais marre qu'il passe son temps avec ses potes plutôt qu'avec moi. Il en profite car il est au lycée et sue l'an prochain nous ne serons plus là. Mais en même temps il vit dans la même chambre que ses potes. Je veux bien que des fois ils sont dans le lit de leur conquêtes du soir mais bon ! J'avais l'impression qu'il passait plus de temps avec eux qu'avec moi.
Bien que dans un sens cela m'arrangeait car comme ça il n'essayerait pas de m'aider avec un problème que j'aurais et que je voudrais régler toute seule. Avec le temps il devrait comprendre que lorsque j'ai des problèmes je préfère oes régler moi-même plutôt que de demabder de l'aide. On voit comment ça c'est terminé à chaque fois que j'en avais demandé !
Ma tête blonde dévia vers la gauche et mes yeux se posèrent sur la prof. Prof qui m'avait collé et dont j'avais séché et la colle et les cours depuis la colle. Les gens disanent d'elle qu'elle était cool. Mais tout ce que je voyais c'était une prof comme les autres qui m'emmerdait à se prendre pour une chef comle si nous étions des gamins de 10 ans. Si elle voulait gueuler sur des élèves autant aller dans une ecole primaire humaine ! Je me souvins alors qu'elle avait été dans notre lycée.

- Lorsque vous étiez élève ici. Vous avez quittés le lycée car les élèves cool vous emmerdaient car vous étiez végétarienne ou alors une cible super facile car les élèves cool adorent emmerder les intellos ? Vous en aviez tellement marre que vous avez préféré partir pour revenir des années après et vous venger sur les descendants du groupe ?

- Faire nos rois et reines ? A vrai dire nous le sommes, nous sommes les rois élus dans ce lycée. Lors du bal de promos les élèves votent pour nous. Nous respectons simplement leur choix. Et de plus, ça va totalement en accord avec notre groupe.

   - Waw, on dirait que vous avez répété votre petit speech mademoiselle, répondis-je de manière assez arrogante. Vous nous prenez pour des abrutis ? On sait très bien qu'en dehors des murs de cette prison, le lycée ne compte pas. Mais laissez moi vous dire qu'en dehors de ces murs, le lycée ne compte pas non plus. Tout comme vos cours que vous vous énervez à nous enseigne comme si nous étions des gamins de 17 ans, dans un lycée normal.

   Ah c'était bien beau d'être prof ! Surtout ici ! Ils pouvaient être nourris, logés, blanchis, et au passage donner des cours qu'ils n'avaient pas actualisés depuis plus de deux cents ans à des élèves qu'ils prenaient pour des gamins pré-puberts, qu'ils avaient le droit d'engueuler et d’inonder de devoirs comme si ça allait leur servir, ou encore comme si ils n'avaient que ça à faire !
   Beaucoup des gens ici venaient seulement pour des bijoux contre le soleil, ou pour trouver refuge et être parmi des gens comme eux, et acceptés. Evidemment ils n'étaient pas acceptés par tout le monde, mais personne n'est accepté par tout le monde. C'était déjà le cas dans une famille, mais alors dans un lycée de 700 élèves c'était pire ! Les gens n'avaient qu'à s'y faire, et se plier à leur environnement. Comme n'importe qui le ferait.
   Mais sous prétexte que nous étions dans un lycée, que nous étions adulte - ah bah oui car dans ces cas là nous sommes des adultes ! Et bien nous nous prenions des sanctions, alors que dans n'importe quel autre institution, surtout scolaire, ça marchait ainsi. Les gens venaient ici et n'acceptaient pas, et décidaient de jouer aux rebelles contre les rebelles, seulement car eux voudraient être au pouvoir, et qu'ils ne peuvent pas, car la place est déjà prise. Et c'est là que les profs interviennent et se permettent des leçons de morale à deux balles, des commentaires, et au final se plaisent à nous pénaliser, nous sanctionner, uniquement pour qu'on perde notre temps, en espérant nous " donner une leçon " qui ne servira encore plus à rien car nous avions ensuite envie d'en faire pus pour les énerver eux aussi !