Je m'excuse pour l'autre fois

- Bon très bien, quand j'étais humain un peu comme tout les garçons de mon âge j'ai du m'engager dans l'armée. Mais un jour un de mes amis à été tuer et j'ai pas supporté. J'ai donc déserter et je suis rentré chez moi. Quand je suis rentré une odeur est monter au nez, je me souviens en avoir eu la nausé. J'essayais d'allumer la lumière mais rien et j'ai entendu du bruit. Voulant aller voir j'ai trébuché sur quelques chose, c'était le corps inanimé de ma petite soeur... Je me souviens après juste d'un rire puis d'une violente douleur au cou. Je tomba inconscient et lorsque je me réveilla j'étais dans une sorte de cellule de deux mètre sur 3 avec une simple couverture comme lit. La commençais le cauchemar dis je simplement 

J'avais toujours du mal à raconter ça, peu de gens savaient vraiment tout ça.

JE te regard et prend ta main pour t'encourager a continuer. racconter ca transformation n'est jamasi très aggréable.

Je voyais qu'elle voulait entendre la suite. Je repris donc laissant sa main sur la mienne.
- J'ai passer les 50 première année dans ce cachot pourris, j'ai subis de nombreuses tortures. C'est pour ça que je manque de confiance en moi, pendant 50 ans on te dis que tu es une merde que tu es rien tu fini par y croire. Mon créateur aimé souvent me faire du mal jusqu'à ce que je tombe inconscient. Ce qu'il aimait par dessus tout c'est me voir avec des loups, d'où pourquoi j'en ai la phobie maintenant. Mais bon j'ai réussi à lui échapper grâce à deux taupes dans son entourage. Je les remercierai jamais assez de m'avoir fait évader de ce trou.

- Tu m'étonne... je suis désoler.

je n'avais pas de pitier dans le regard je comprenais et écoutais tout simplement

- Voilà pour la petite histoire en bref c'est ça dis je en évitant bien de parler lorsque j'étais humain car je détestais devoir parler de mon père.

- Et avant?

- Séparer d'un jumeaux à la naissance revu récemment mère aimante, vivant modestement dis je simplement pour ne pas lui dire que je ne voulais pas parler de mon père au penchant alcoolisée qui m'a toujours terrifié

Je comprit vite que ton père étais tabou

- mhm je voix...

- Et toi ? Dis je alors que nos boissons arriver

- euh...je... c'est aussi pourris que toi