Dernières minutes à Georges Washington High School ( Scerena )

Après que le proviseur m'ait dit de faire mes valises et de quitter le lycée il y a quelques semaines, j'étais resté un peu plus longtemps et j'avais pu passer du temps avec Serena, même si on partait tous les deux, mais au matin le peoviseur l'etait tombé dessus et j'avais pas d'excuse qui tenait la route selon lui, alors que les excuses étaient toujours très bonnes ! J'étais resté plus longtemps que ce que je pensais, j'avais vu ce que j'étais venu voir même si j'étais déçus de comment mon clan finissait j'étais quand même content qu'il persiste même si les valeurs étaient différentes et ça ne m'etonnais pas qu'ils aient du mal à se faire respecter avec des valeurs pareilles mais bon ; et puis j'avais retrouvé une bonne amie avec qui j'avais terminé par sortir. Ce qui se résumait à un bon séjour. J'avais réussis à ne tabasser que deux ou trois végétariens alors que j'aurais pu en faire plus.
Alors que je venais de terminer mes valises je regardais ma chambre. Elles changeaient radicalement des sortes de donjons en pierre qu'on avait il y a 150 ans. J'aimais bien ces chambres avec de vrais lits, des couvertures, des matelas, oreillers, des bureaux et des tables de chevet, mais mon petit côté sentimental regrettait les lits tout pourris avec de faux matelas, les chambres assez sombres, le peu de confort quoi. En y réfléchissant je retournerais bien à cette époque encore un peu.
J'avais terminé mes affaires mais je ne savais pas où en était ma beauté blonde je sortis donc mon téléphone de ma poche et lui textais :

( De rien )

J'avais posé mon téléphone sur le bureau remplit des affaires d'un de mes camarades, enfin anciens camarade, et j'étais partis dans la salle de bain pour le repasser un coup dans les cheveux car un épi avait décidé de se montrer, pourtant j'en avais pas souvent. Je retournais dans la partie chambre et regardais mon téléphone, je hochais la tête et attendus. J'étais pas vraiment déçus de partir car à la base je ne devais pas rester, juste passer en coup de vent quelques semaines. Et comme on l'avait dit avec Serena, notre place n'était plus ici et c'était mieux ainsi ! Je détestais toujours autant Portland.