Emily et Hank

J'étais seul dans la maison hantée. J'étais à l'étage dans ce qui devait être une bibliothèque à en juger les grandes étagères remplies de vieux livres tout poussiéreux. 
Assis par terre contre le mur dans le fond de la pièce je fixais le sol. J'étais fatigué je ne dormais plus et c'est à peine si je me nourrissais. J'étais tellement préoccuper d'aider les autres que je m'occupais même plus de moi. J'essayais d'aider mon frère à se sortir du fond du trou, j'essayais d'aider Emilia pour arriver à la faire rallumer ses sentiments.

Je me promenais. Je ne vivais plus vraiment, je n'étais plus que l'ombre de moi. Depuis la perte de mon enfant, je ne souriant plus je me morfondais dans mon coin. Je m'en voulais et je n'arrivais pas a remonter la pente.

je jouais avec mon briquet m'amusant à l'allumer puis à éteindre la flemme que je fixais. Je me pris à penser que si je lançais mon briquet allumé contre la bliblothèque elle prendrait feux vu tout les vieux papier que les livres contenais de plus le parquet était en bois et il y avait de grand rideau en tissus, tout ce qu'il fallait pour faire un bel incendie.  Et le feu pouvait tuer un vampire. Bien sur je ne le ferais pas je devais d'abord aider mon frère et Emilia

je marchais tranquillement a penser a ce qu'aurai pus être ma vie, si mon enfant avais vecu, si je l'avais porter. Si je l'avais porte, élever. Je me mis a pleurer a nouveau, je m'appuyais contre un mur et pris mon visage entre mes mains. Je glissais les long du mur. Je faisais que cela pleurer.

je soufflais la flemme une dernière fois avant de me décider à me lever. Je sorti de la pièce et descendais le grand escalier en bois qui grinçais à chaucun de mes pas

Je ne prêtais pas attention autour de moi en boule dans le couloir. Je pleurais toujours.

une fois en bas j'entendais quelqu'un pleurer. Je me dirigeais vers le bruit et vis une fille en boule 

-Qu'est ce que tu as ? demandais-je gentillement

Je sursautais. Et me relevais un peu trop rapidement.

- Euh ... je ... Rien ...


Je ne voulais pas que les gens s'apitoie sur mon sort

-En général quand on pleure c'est qu'il y a une raison. Des fois on pleure des joies, mais à te voir je doute que ce soit de la joie qui te fasse pleurer