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Victoria Kyle
Admin - A Votre Service
Victoria Kyle
Victoria Kyle
Mes verres de sang : 31232
Mon âge : 105 ans.
Mon régime : Cannibale
Mon animal protecteur : Le Lion
J'aime : Célibataire
Je ressemble à : Dianna Agron
Mon total de points est de : 757
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Ven 3 Juil 2015 - 22:51

Les Vacances De VictoriaVictoria Kyle - McGohan

Habillée d'un tailleurs gris, des escarpins avec des talons pas très hauts, les cheveux en chignon d’hôtesse de l'air, j'étais en avance à l'hôpital de Los Angeles où j'étais attendue à 15h pour mon entretient, je regardais ma montre continuellement, j'étais assez stressée. Lorsque j'arrivais, à 14h38, j'allais à l'accueil et affichais un sourire amical.

- Bonjour, j'ai rendez-vous avec monsieur Drick à 15h.
- Oui bien sur, me répondit la charmante secrétaire qui s'occupait des admissions des patients. Mademoiselle ?
- Madame McGohan, lui répondis-je directement en hochant la tête, me tenant toujours droite.
- D'accord.. oui, vous êtes un peu en avance. Vous pouvez prendre l'ascenseur et monter jusqu'au quatrième étage.
- Parfait, merci.

Je gardais mon sourire en partant vers l’ascenseur, je souriais de moins en moins au fur et à mesure que j'avançais. Dans l'ascenseur je faisais les cents pas, je tournais en rond. J'avais jamais été autant stressée pour un entretient, c'était d'ailleurs mon premier entretient, du moins pas d'aussi importants. En marchant dans le couloir je regardais dans ma pochette si j'avais bien tous les document dont j'avais besoin, il n'y avait pas grand chose : mon téléphone, mes papiers d'identité, des stylos bleus, noirs, rouges et verts, en double chacun. Un petit miroir au cas où, et une petite brosse de poche.
J'attendais assise sur un siège, non pas inconfortable, complètement droite avec mes mains sur ma poche posée sur mes cuisses, je regardais chaque personne qui passait, et juste après je regardais l'heure. Ça me paraissait être une éternité. Un homme en costume gris arriva enfin se poster devant moi.

- Madame McGohan ?, demanda t-il pas sur de lui.
- Oui c'est moi, dis-je en me levant, lui souriant et lui serrant la main fermement. Vous avez l'air surpris, quelque chose en va pas ?
- Hum.. Je vous imaginais juste avec.. au moins dix ans de plus.
- Mon père a du vous prévenir que je n'avais que 22 ans pourtant.
- Oui c'est vrai.

Il m'invita à entrer dans un petit bureau où il me proposa un verre d'eau. Je m'assied sur un siège et posais ma pochette sur la table. Deux autres hommes rentrèrent dans la salle, des collègues à lui, je savais qu'il ne serait pas seul. Je leur serrais la main, me présentais, et ils s'assirent pour que l'on commence. Je prenais un air assurée, sûre de moi, maîtresse de la situation.

- Je dois vous avouer mademoiselle, madame pardon, que du fait de votre âge nous sommes assez peu confiants, commença l'homme aux cheveux gris avec une tête ronde et une moustache, monsieur Dalton.
- Je comprend. C'est tout à fait normal. Mais je peux vous assurer que si vous acceptez de me nommer directrice de votre hôpital vous ne serez pas déçus.

J'avais déjà préparé, avec Stan même, toutes les possibilités de questions sur lesquelles ils pourraient avoir des doutes, et je comptais tous les retirer de leurs esprits et sans perdre de temps inutilement. Et j'allais leur montrer que je n'étais pas venue pour perdre du temps.

- Je sais ce que vous allez me dire. Je suis très jeune, je n'ai pas d'expérience professionnelle sur mon CV pour le moment, et pour commencer une carrière c'est très rapide. Mais laissez moi vous montrer les bénéfices que vous ferez. Déjà, je pourrais trouver de nouvelles idées pour l'hôpital. Des idées innovatrices, et j'en regorge. En plus de ça, je pourrais ramener des investisseurs très facilement.
- Et comment ferez-vous cela mieux qu'une autre personne beaucoup plus expérimentée ?, me demanda Monsieur Turner, un homme assez petit et rond qui avait l'air d'être coiffé d'un postiche pour cacher une affreuse calvitie, il n'avait pas du tout l'air convaincue.
- Je suis quelqu'un de plutôt très persuasive. Je ne laisse pas les gens me dire « non ». De plus, je suis très travailleuse.
- Il est dit dans votre.. dossier scolaire que vous étiez en pensionnat privé et que vous aviez d'excellentes notes, remarqua monsieur Drick.
- Effectivement, des félicitations continuellement.

Avec mon père on avait changé quelques appréciations pour qu'on ne voit pas les multiples bagarres, arrachages de cœur, etc..

- Mais vous savez qu'un bon dossier scolaire ce n'est pas suffisant pour nous ?
- Vous êtes associés avec mon père, vous savez que si il ne me savait pas prête il ne m'aurait jamais envoyé vous voir pour diriger un des hôpitaux avec qui il travaille.
- Justement, pour nous tout ça ne ressemble qu'à un papa qui veut récompenser sa fille d'avoir bien travaillé à l'école. Nous connaissons votre père pour son bon travail, il est très rigoureux.
- Monsieur Drick, permettez moi de vous couper pour que les choses soient claires. Je tiens à avoir cet hôpital, et je sais parfaitement que je suis capable de gérer cet hôpital.
- Je ne pense pas. On sait diriger un hôpital lorsqu'on acquiert de l'expérience.
- Je sais que j'en suis capable. Laissez moi alors quelques mois pour vous faire une vraie opinion de mes capacités plutôt que de me juger sur mon apparence.

Ce serait visiblement beaucoup plus dur que ce que je ne penserais, mais j'étais au moins autant déterminée à obtenir ce travail pour lequel j'avais travaillé toute ma vie, qu'eux à me virer du bâtiment et de leur vie rapidement. J'avais passé ces dernières 90 années à travailler pour que mon père me fasse enfin tenir mon propre hôpital, et je resterais pas sur un échec, hors de question.

- Quelques mois à vous laisser faire vos preuves ?, me demanda un peu surpris et choqué voir aberré monsieur Dalton. Vous pensez que gérer un hôpital c'est du gâteau ? Qu'il est facile de laisser le travail à n'importe qui ?
- Je n'ai pas..
- Ce n'est pas du gâteau. C'est beaucoup de travail, beaucoup d'investissement personnel. Serez-vous capable de le faire ?
- Évidemment !
- Tout ce que je vois en vous voyant, mademoiselle, c'est une petite fille gâtée à qui son papa a fait de grandes promesses mais qui n'a pas encore profité de sa vie et qui va bientôt le faire. Elle s'est mariée très jeune en pensant qu'il sera le bon, et je vous souhaite que ça soit le cas. Mais à votre âge on a pas assez d'expérience, on a pas le dos pour porter tout un hôpital.
- J'ai travaillé toute ma vie pour travailler ici !
- Justement, vous sortez de l'adolescence, vous allez avoir envie de..
- Je suis patiente, je suis responsable, j'ai déjà travaillé sur quelques dossiers que mon père m'envoyait, et j'ai toujours pris les bonnes décisions ! J'ai absolument toutes les qualités requises pour travailler ici !, dis-je en commençant à m'agacer, mais je me calmais, c'était déjà très mauvais.
- Avez-vous fait des études de médecine, mademoiselle ?, me demanda celui qui avait le moins parlé et qui était resté à nous regarder hausser le ton en jouant avec son stylos, monsieur Turner.
- Ma pension nous a donné un niveau très élevé, je dois dire.
- Donc.. vous connaissez les maladies qu'un patient peut avoir ? Que ça soit un rhume ou alors une pneumonie.
- Je ne suis pas stupide, j'ai étudié.
- Donc vous savez quelles sont les symptômes de.. quelle maladie par exemple ? La drépanocytose, la sclérose latérale amyotrophique.
- Je..

Ils me posaient des colles là.. ça ne m'arrivait jamais. Je n'avais jamais eu de colle dans ce genre, j'arrivais toujours à répondre. Je les regardais sans rien répondre, essayant de chercher si j'avais déjà entendu parler de ces maladies. J'imaginais bien qu'elles existaient. Mais je ne savais pas du tout quoi leur répondre. J'essayais de ne pas perdre mes moyens, mais ils voyaient bien que je ne savais pas de quoi ils me parlaient.

- Voilà la vérité, continua t-il en joignant ses mains sur la table, me regardant droit dans les yeux. Vous n'êtes pas qualifiée. Vous n'avez que 22 ans, vous n'avez aucune expérience dans quelque domaine qui soit. Vous n'avez jamais fais de médecine, et très honnêtement disséquer une grenouille c'est loin de pouvoir opérer en urgence à la place d'un médecin plus qualifié que vous lorsqu'il n'est exceptionnellement pas là.
- Je sais que je serais capable.., dis-je en commençant à réaliser qu'ils ne me laisseront jamais cet hôpital et que ça me touchait.
- .. Vous n'en serez pas capable mademoiselle. Pour ça il faudrait que ayez fait des études de direction, de médecine. Que vous vous soyez beaucoup plus impliquée. Comme par exemple commencer en tant qu'infirmière, aide soignante. Mais vous ne l'avez pas fait, et vous avez toute la vie pour le faire. Mais à 22 ans on ne gère pas un hôpital, parce qu'à la moindre erreur ce seront les patients qui en souffriront.

Nan. Pas question. Tant pis pour eux, ils ne m’auront pas laissé le choix. Je devais avoir ce poste ! J'avais été promise à ça toute ma vie !

- Regardez encore une fois, et pensez fortement à notre discussion et mes capacités, et je sais que vous saurez prendre la bonne décision, dis-je en les hypnotisant.
- Exact, nous avons bien lu votre dossier, un simple dossier scolaire, sans curriculum vitae, donc aucune expérience, me dit monsieur Drick qui n'avait pas été hypnotisé.

L'hypnose n'avait pas fonctionné, ils étaient sous verveine. Ils m'avaient piégée pour tout, toujours avoir une opposition contre mes arguments. Ils étaient déjà décidés sur le fait qu'ils ne m'embaucheraient pas dès le départ. Ils ne me laisseraient aucune chance.

- Maintenant, si ce n'est pas trop impoli pour vous, reprit monsieur Dalton. Nous allons retourner à notre travail sérieux. Et vous je  vous conseillerais gentiment de commencer des études de médecine plutôt que de vouloir aller trop vite.

Ils se levèrent alors que je les regardais dégoûtée, déçue, mais aussi surprise que l'hypnose n'ait pas fonctionné. Je me levais et leur disais au revoir, puis quittais l'hôpital avec un visage d'enterrement. Je venais d'échouer..
Je rentrais chez moi en utilisant les transports en commun mais restais avec ma tête déçue, surprise, j'étais complètement figée, absente de mon corps, et j'avançais jusque chez moi comme si c'était automatique, mon monde s'écroulait autour de moi. On m'avait promit cet hôpital, on m'avait toujours dis que j'allais devoir passer cet entretient et que c'était dans la poche, et là je rentrais chez moi bredouille. J'ouvris la porte et lâchais mon sac à main par terre au lieu de le mettre comme d'habitude sur le meuble juste à côté. Je ne me déchaussais pas et partis dans mon salon où Stan était en train de regarder un film, une bière à la main. Il se retourna vers moi en souriant.

- Alors ? Cet entretient ? T'as cartonné ?

Il vit mon visage pas du tout fier et tout et il perdit son sourire. Je partis jusqu'au canapé et me laisser tomber assise à côté de lui.

- Qu'est-ce qu'il y a ? T'as vu toutes les heures que tu allais te taper et tu pensais pas avoir autant de boulot ? Ils t'ont donné trop de dossiers en même temps ? Ça paye pas assez pour qu'on paye la maison ?
- J'ai échoué..
- De quoi ? Je comprend pas.
- J'ai pas eu le poste Stan.
- Quoi ? Mais c'est pas possible, tu as du mal comprendre. Ton père t'a dit qu'il avait tout arrangé.
- Qu'est-ce que j'aurais pas pu comprendre dans « Vous n'êtes pas qualifiée. Vous n'avez que 22 ans, vous n'avez aucune expérience dans quelque domaine qui soit. Vous n'avez jamais fais de médecine » ou encore dans « vous n'êtes qu'une fille à papa à qui on a trop promis » ? Parce que si j'ai mal compris quelque chose dis le moi, parce que je ne vois pas.

Ma voix commençait se briser après la fin de ma question et je fondais en larme dans les bras de Stan qui me serra contre lui, aussi surprit que moi. Il passait sa main dans mes cheveux en me répétant que ça irait. Je savais que j'avais échoué dans mes objectifs de vie. On allait jamais pouvoir heureux et sans embûches lui et moi ? On avait toujours quelque chose qui n'allait pas, et ça venait souvent de moi, comment il pouvait rester avec moi avec une vie pareille ?
C'était à ce moment précis que je sentais mes émotions me submerger, ce qui ne m'était pas arrivé depuis longtemps, même quand j'avais mes motions, c'était comme si une porte de coffre fort s'était ouverte en moi, dans ma poitrine, et ça me faisait affreusement souffrir. Je ne pleurais plus uniquement parce que j'avais échoué dans le fait de devenir PDG, je pleurais pour tout et pour rien.
Je passais quelques heures à pleurer et à l'écouter parler, il parlait de tout et n'importe quoi, pour me changer les idées mais ça ne fonctionnait pas vraiment à vrai dire, tout ce à quoi je pensais c'était qu'on allait jamais payer de factures, que je ne me lèverais pas pour aller travailler, que tous mes objectifs s'écroulaient, puisqu'en réalité j'en avais que deux des objectifs, rester avec Stan pour le restant de ma vie, et devenir directrice d'un hôpital. J'aurais que la moitié de réussie, et encore Stan se réveillerait peut-être un jour et se dirait qu'il en a marre de s'occuper de moi.

Les jours passaient et je ne faisais pas grand chose, moi qui d'habitude était active, je me mettais à faire la grasse matinée ( ce qui ne m'était jamais arrivé avant ) et lorsque je me levais je restais en pyjamas, ou je mettais un des longs T-Shirts de Stan, ça me servait tout aussi bien de pyjamas. Je parlais peu, et ce n'étaient pas des sujets très passionnants, je déambulais dans la maison sans trop de but, parfois je me mettais à rire pour rien, puis ensuite je me mettais à pleurer,  je regardais la vue de mon balcon, c'était beau la mer à Los Angeles, très émouvant de regarder les vagues. Stan s'inquiétait de me voir comme ça, et lorsqu'il parlait il évitait tous les sujets qui auraient un rapport avec la médecine.
Mon père avait appelé pour prendre des nouvelles, il avait entendu parler de ça, ça ne le réjouissait pas pour moi, évidemment ! Il ne savait pas pourquoi ça s'était passé comme ça, il essayerait de voir de son côté, que je ne devais pas m'inquiéter. Je faisais comme si tout allait bien, mais je m'en voulais d'avoir échoué, je lui disais, mais c'était comme si il n'entendait pas mes excuses pour avoir faillis. On échouait pas chez nous.
Les semaines passaient et Stan m'emmenait aux fêtes sur la plage le soir, il y en avait plein, on avait même fait une soirée Spring Breack, plein d'alcool, il s'était bien enfilé plein de drogue sans que je ne dise rien, il était grand il savait ce qu'il faisait. C'était pas si mal que ça au final les fêtes ! Mais arrivée chez moi ça ne me changeait pas les idées. J'arrivais pas à retrouver le sourire. Un matin suite à une longue discussion constituée de pour et de contre, on prit la décision qu'on retournerait au lycée pour minimum deux ans, parce que ce n'était pas une bonne idée d'aller en lycée humain, c'était pas pour nous. On était pas vraiment heureux de cette décision, mais on était décidés, j'aurais mon diplôme et toutes les compétences requises pour diriger un hôpital même si je devais retourner à Georges Washington High School !
Au final j'avais pas fais grand chose de mes vacances, passées dans la maison, je me nourrissais d'une poche par jours, je faisais le ménage, je passais du temps avec Stan. Et pourtant je ne m'ennuyais pas. Moi qui pensais qu'on ne ferait rien de nos vacances on avait bougé un peu quad même en ville, mais pas de grand chose, surtout dans les fêtes. J'avais pas passé de bonnes vacances en réalité.
On avait fait une webcam avec tous nos amis du groupe, on s'était mis d'accord sur beaucoup de points. Premièrement le fait qu'on intégrait Loan Dickson dans notre Clan, ça me paraissait juste, mais au final moi j'étais restée avec ma tasse de café, dans mon canapé, et Stan parlait plus que moi, c'était son clan plus que le mien, moi j'en avais rien à aire, je voulais le quitter, mais tout le monde trouvait que c'était :

- Une idée stupide, tu vas te faire tuer !, râlait Sanders.
- Tu vas pas survivre une journée dans le lycée même si on est tous autour de toi, continuait Ryan.
- T'as pas plus con comme idée ?, demandait Sarah.
- Bon bah très bien ! Je vais continuer d'embêter vos losers, et de manger avec vous, et même garder ma place si vous voulez ! Mais c'est pas pour ça que je reviens.
- Et bah reviens pour autre chose, mais sans ton rang t'es morte, continua-elle.

On passa ensuite sur le fait qu'on devait remettre notre popularité au niveau, et pour ça, on devait arrêter d'emmerder uniquement les gens qu'on déteste, et surtout : on a mit des règles sur papier. Casey avait proposé de signer avec le sang, mais étant donné qu'on était tous loin des uns et des autres on a pas opté pour cette idée. Mais on s'était tous mit d'accord, les losers seraient seulement les végétariens, et si on emmerdait les autres, ils passaient après les végétariens, c'était tout. J'avais accepté, si j'avais qu'à emmerder les végétariens ça m'allait, j'aurais pas à m'en prendre aux autres comme ça.

- Évidemment s'attaquer aux autres c'est pas exclut non plus hein !, rajouta Stan.

Après cette délibération j'étais partie. Je m'en fichais de tout ça ! Au contraire ça commençais à m'énerver de les entendre parler de comment ils martyriseraient les élèves en retournant au lycée. J'étais partis dehors et j'avais plongé dans la piscine, habillée d'un t-Shirt à Stan seulement ( et évidemment de sous-vêtements ).

Je savais que parfois Gynna appelait, Stan répondait le plus au téléphone parce que j'avais pas envie, j'avais pas envie de me prendre la tête, de parler à trop de monde. J'avais envie de profiter de ma belle maison, et de ne me préoccuper de rien, de prendre du temps pour moi et mon mari. Par inquiétude, Stan me proposait même des après-midi shopping mais je refusais. On avait déjà pas de rentrée d'argent mais j'allais pas non plus tout claquer en fringues. Je savais que lui se droguait, et j'essayais de l'aider, de contrôler un peu, mais il essayait aussi de son côté, le soir du bal lui avait sûrement servit de leçon et il avait sûrement comprit que se droguer et être en manque c'était pas une bonne idée.

La fin des vacances sonnait, j'avais refais des achats pour la rentrée, on avait gardé nos affaires les plus précieuses ici, on avait mit le nom de la bonne de mon père et ma mère comme propriétaire de la maison, et on avait tout clôturer pour être sûrs que personne ne vienne squatter, ou nous voler. Je ne savais pas comment j'allais gérer mes émotions cette année, mais j'avais encore du mal à ne pas les laisser me submerger à certains moments. Stan et moi étions d'accord : je me focalisais sur ce que je voulais, si je ne voulais pas me conduire d'une mauvaise manière je n'aurais pas à le faire, juste l'être un minimum avec les végétariens, c'était pas trop demander.

Lady
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