Rebekah et Finn

Mary voulait qu'on fasse une pause elle et moi. Je me mettait tout le monde à dos pour pas changer. Je comprenais pas pourquoi j'étais comme ça. Pourquoi quand quelqu'un était proche de moi ou quand on me laissait une autre chance je faisais tout foiré et je faisais tout pour que cette personne m'en veuille. C'était tout le temps pareil et je savais pas pourquoi j'agissais de cette façon. C'était presque à croire que inconsciemment je refusais qu'on soit proche de moi. Enfin bref, j'étais venu dans la plaine et avait croisé trois footballeurs qui s'étaient pas privé de se moquer de l'équipe de basket encore. Évidement ça à mal fini et on s'est retrouvé à se battre. J'étais seul contre eux je me défendais donc comme je pouvais.

Ne sachant pas quoi faire je me promenais dans la plaine tout en écoutant de la musique et en fredonnant. A un moment des bruits de luttes franchirent mes oreilles et je m'avançais vers le bruit. Je vis alors Finn se battre avec des garçons de l'équipe de foot. Je m'avançais alors en faisant apparaître mes loups qui se jetèrent sur les footeux sans les blesser alors que je les repoussai en me mettant devant Finn tout en grognant.

J'étais en mauvaise posture quand des loups firent reculer les footbaleurs. Rebekah se mit devant moi. Je ne dis rien et essuyais le sang qui coulait de mon nez et puis crachait du sang sur le côté.Les footbaleurs partis en riant en disant qu'on se reverrait. Je regardais Rebekah

-J'avais pas besoin d'aide !

dis-je simplement. Je me mis à marcher en boitant un peu plus loin

- Un simple merci m'aurait suffit ! Dis-je simplement tout en le regardant. Et je crois que tu me doit une fière chandelle, à moi et mes loups ! Dis-je en caressant mes magnifiques prédateurs.

je boîtais jusqu'à un arbre pour m'asseoir à son pied

-Je m'en serait sorti mais merci !

dis-je assez sècheemnt

- On devrait rentrer au lycée.. Tu es blessé.. Dis-je en m'approchant de lui.

-je m'en fou ! j'arrête de penser à moi !

dis-je en me souvenant qu'elle m'avait reprocher de penser qu'à moi

Je soupirai et m'approchai de lui.

j'essayais de trouver une position qui ne faisait pas trop mal et disais rien. J'étais méchant avec tout le monde donc je préférais me taire

- Je peux regarder ta jambe ? Dis-je doucement.