On se retrouve après les vacances ( Victoria et Brandon )

J'en avais marre que l'on me mette au défis de faire les choses. C'était pas arracher un coeur, et encore moins son coeur à lui, ce suicidaire qui allait ensuite se faire passer pour la victime, ça ne me dérangerait pas de lui arracher le sien. Mais comme il me mettait au défit, j'allais lui faire plaisir, enfin ça me faisait plus plaisir à moi, car lui j'allais faire exprès de ne pas y aller tendrement !
Je le regardais toujours avec de l'agacement dans le regard et sur tout mon visage, les yeux très légèrement plissés, les lèvres collées un peu plus mises en avant. Il était plus grand que moi alors je devais légèrement relever la tête. D'un coup je relevais mon avant bras et forçais avec ma main pour passer à travers son haut et dans sa poitrine, ça lui cassa une côte et perfora un poumon et j'attrapais son coeur que je serrais. Le temps qu'il se décroche ça ferait mal et ça paraîtrait très certainement une éternité pour lui. Mais il ferait comme si de rien parce que " monsieur avait été torturé pendant des années ".

J'eu du mal à respirer tout d'un coup. La douleur se fit d'un coup après qu'il ait entré sa main et tenu mon coeur. Certainement le temps que la douleur monte à mon cerveau. Mais la douleur ce n'était que dans la tête, et même si ça faisait affreusement mal, je ne montrais rien. J'avais eu envie de crier, mais seulement un petit son s'était fait entendre. Je le fixais toujours dans les yeux. Qu'il le fasse, qu'est-ce que ça ferait ? On finirait à l'infirmerie où on nous remettrait nos cœurs en place et quelqu'un préviendrait un membre du Clan, ils rappliqueraient, et quand on se réveillerait la première personne présente nous ferait un scandale, soit ce serait Stan, soit ce serait Gynna, mais peu m'importait. J'avais du mal à respirer, et j'avais l'impression que mon sang me montait à la tête, mais ce n'était qu'une impression.

- Et bien vas-y.. Ça ne m'empêchera pas de te retirer le tient, Cooper.

Je commençais déjà à tirer, j'espérais que ce soit douloureux pour lui. Torturé ou pas, la douleur était toujours une douleur, la seule chose qui changeait avec l'expérience c'était comment on la supportait.