Joss et Emily: Je n'aime pas te voir pleurer...

Ça faisait un mois que ma chérie et moi avions perdu notre enfant et depuis qu'elle était revenu de l’hôpital, je ne l'avais pas revu. Je n'allais plus en cour et passai mes journées à vagabonder dans le lycée. Ma "petite sœur" avait essayé de me remonter le moral mais c'était mission impossible. Je voulais voir ma chérie car elle était le seul remède à mon chagrin et aussi car je m'inquiétai pour elle. J'arrivai devant la porte de sa chambre et frappais.

Un mois, la douleur étais toujours aussi vive. Je n'arrivais plus a rire ni a sourire, j'avais perdue toutes joie de vivre. Lorsque j'étais revenue au lycée, j'avais été m'enfermé dans ma chambre. Je n'en ressortais que très rarement. Les gens ne me posais pas de question, tous le monde le savais. Je n'avais même pas été voir Joss. Je n'y arrivais pas, je n'avais pas la force de le laisse me voir dans cet état la. Je ne mangeais plus depuis une semaine. j'avais perdue l’appétit, même juste le gout de vivre. J'étais en boule dans mon lit. Je ne bougeais plus, j'étais pale, maigre et faible. En me voyant on aurais dis que juste me toucher allais me briser un os. Lorsqu'on frappais a la porte, je restais muette. Ne voulant voir personne. J'avais perdue une partie de moi.

- Mon amour ? Tu es là ? Demandai-je, sans ouvrir la porte, en toquant à nouveau.

Je restais muette a nouveau en entendant la voix de Joss, je ne voulais pas le laisser me voir comme ca. Je refusais, j'avais trop peur qu'il me laisse tomber.

- Mon cœur... Murmurai-je car je sentais sa présence mais je ne comprenais pas pourquoi elle ne venait pas m'ouvrir.

Je m'assis contre la porte et rapprochai mes jambes de mon torse.

- Mon amour, je sais que tu m'entend... Je voulais savoir comment ça allait... Ça fait un mois que je te vois plus et je m'inquiète... S'il te plait, répond moi... Dis-je, alors que ma voix trahissait un sanglot.

En entendant son sanglot, je me relevais difficilement. Et allais vers la porte. Je la deverouillais doucement, avant de l'entre ouvrire.

- Joss ... je ... Je suis pas en état de voir qui que ce soit ... murmurais-je d'une voix faible.

Je relevai la tête vers elle et me redressai rapidement en voyant son état.

- Oh mon cœur... Dis-je, en la prenant doucement dans mes bras.

Je me laissais aller contre lui. J'étais vraiment très maigre blafarde et faible.

Je la pris, doucement, dans mes bras et la raccompagnai jusqu'à son lit, avant de m'y allonger. Je la pris contre mon torse et lui embrassai le cou, avant de me mordre la poignet.

- Bois, mon ange.. Tu en as besoin..

Je me laissais faire. J'eu un frisson au contacte de ces lèvres. il m'avais manquer.

- Non ... Je ... j'ai pas fiam.